La possibilité d’entrer en résonnance avec le monde (H. Rosa) dépend en effet de la possibilité de le décrire et de le dire autrement, de ne pas réduire le réel au probable, de chercher à constituer des scènes (J. Rancière) qui, en élargissant le récit, élargissent nos capacités à ressentir et à percevoir le monde. Le fil conducteur de cette année sera la question que nous adresse D. Haraway : Quelles histoires fabriquent les histoires que l’on raconte ? Quels sont les effets de connaissance qu’elles produisent ? Comme l’année dernière, la réflexion se poursuit à travers une diversité de formats – performances, lectures, projections et débats – pour mieux chercher à expérimenter publiquement.
Le séminaire se poursuit jusqu’en avril 2021.