Marcelline Delbecq, Silence Plateau, 2005, courtesy galerie Frank Elbaz
« Le travail de Marcelline Delbecq s’est peu à peu éloigné de la pratique de la photographie pour se concentrer sur la potentialité cinématographique de l’écriture. Son utilisation du récit, de la voix, élabore un univers narratif mis en mots et en son pour convoquer un ensemble d’images mentales oscillant entre description et fiction. Dans ses installations sonores, publications et lectures – pour lesquelles elle utilise le plus souvent sa propre voix comme une voix off à un projet cinématographique invisible – les mots mettent en jeu la question du regard en devenant à leur propre tour des visions. »
Le travail de cette jeune artiste jette ainsi des ponts entre la littérature, la photographie et l’installation sonore.
Radiogramme, Marcelline Delbecq, mars 2006 :